Vous vous souvenez du sketch des Inconnus sur le bon et le mauvais chasseur ?
Eh bien, pour la prise de parole en public, c’est pareil.

Il y a le bon trac… et le mauvais trac.
Et pourtant, à première vue, les deux transpirent.

😰 Le mauvais trac, lui, a trois visages :

– Cas n°1
Aucune préparation.
Transpiration, gorge sèche, gestes nerveux…
Il n’y a pas de mystère : quand rien n’est préparé, le corps parle avant vous !

– Cas n°2
Vous avez préparé, mais le plat est fade.
Vous le sentez : votre discours manque de relief, d’âme, de structure.
Résultat : vous servez une soupe tiède… et vous le savez.

– Cas n°3
Le combo fatal : vous avez préparé, c’est moyen, et en plus, vous n’avez rien mémorisé.
Le stress devient panique.
Vous ne jouez plus avec votre auditoire, vous jouez à cache-cache avec vos idées.

💪 Et puis, il y a le bon trac.

Celui des grands moments.

Celui qui fait battre le cœur un peu plus vite, sans jamais vous faire perdre pied.

Parce que vous avez :
1️⃣ Soigné la conception de votre discours :
Un bon plat, avec de bons ingrédients — une accroche et conclusion percutantes, une structure claire, des arguments solides, des figures de style…

2️⃣ Et préparé la mémorisation, pour pouvoir jouer votre texte plutôt que le réciter.

🔥 Le bon trac, c’est l’adrénaline qui élève, pas celle qui écrase.

C’est la tension juste, celle qui transforme une prise de parole en un moment de connexion vivante avec votre audience. Ici et maintenant.
Tout sauf un plat réchauffé.

Moralité ?
Ne cherchez pas à éliminer votre trac.
Apprenez à le cuisiner. 😉

C’est justement ce que nous travaillons à L’École du Grand Oral !