Cette semaine, j’ai eu le plaisir d’animer une session pour la société each One sur la communication assertive et la gestion des conflits en entreprise. Lors de cette intervention, j’ai partagé avec les participants quelques extraits d’un documentaire captivant actuellement diffusé sur Netflix.
Imaginez : tous ces artistes réunis pour enregistrer « We Are the World » en une seule nuit, avec son clip. Passé l’enthousiasme des premiers moments, la fatigue s’installe et les projecteurs commencent à chauffer…
Mais Lionel Richie, à l’initiative du projet, s’illustre par sa capacité à apaiser les esprits. Toujours là avec une anecdote, un sourire pour détendre l’atmosphère.
Soudain, Stevie Wonder propose d’interpréter une partie de la chanson en Swahili, une langue d’Afrique de l’Est. Quincy Jones, le chef d’orchestre, montre des signes d’impatience…
Et puis c’est au tour de Michael Jackson de proposer une modification pour le refrain, mais, là encore, celle-ci est loin de faire l’unanimité. Malaise… Comment signifier à ces légendes de la musique qu’elles font fausse route !
Comme le souligne Lionel Richie : « Avec 47 artistes, si chacun fait à sa manière, nous aurons 47 versions différentes de « We Are the World ».
C’est là que réside le défi de tout manager ou chef d’entreprise : mener à bien un projet malgré les divergences et les résistances des parties prenantes.
« C’est l’un des grands intérêts de ce documentaire. Il offre une belle réflexion sur l’importance cruciale de la communication et le triomphe de l’intelligence collective 🗣️