Ces petits mots qui sâincrustent dans nos prises de parole. Parfois Ă la mode, parfois intemporels â mais rarement utiles.
đïž Il y a les tics du moment (le fameux âdu coupâ en tĂȘte dâaffiche), et les classiques (âheuâ, âvoilĂ â, âen faitâ…) quâon traĂźne parfois depuis lâĂ©cole.
Ils ne sont pas âgravesâ, mais ils peuvent brouiller notre message, diluer notre impact, ou simplement agacer Ă la longue.
đ 3 pistes concrĂštes pour les limiter sans se brider :
1) Sâenregistrer
Câest un peu brutal mais redoutablement efficace pour prendre conscience de l’Ă©tendue des dĂ©gĂąts !
2) Marquer des silences
Faire une pause, respirer. Le silence donne de lâespace Ă la pensĂ©e et de la force Ă la parole.
3) Se reconnecter Ă lâintention
Pourquoi je prends la parole ? Pour défendre une idée, transmettre une solution, créer du lien. Se raccrocher à son message apaise et permet de se recentrer.
Et vous, câest quoi votre tic de langage le plus coriace ?
(Je commence : â effectivement â⊠guilty! )